Ce petit livre (20 cm x 13,5 cm) de 280 pages et 55 figures, est fait pour être emporté en voyage, où dix promenades sont proposées.
Première promenade « Avec les deux Pline ».
L’oncle et le neveu, le premier, Pline l’Ancien, mourra sur la plage de Stabies, tandis que Pline le Jeune racontera à Tacite l’éruption du Vésuve et ce qui s’est passé. L’A. s’interroge sur ce qu’est devenue la flotte que Pline l’Ancien avait emmenée ? Il mentionne l’exposition au musée de la Romanité, à Nîmes en 2018, qui a mis en valeur le responsable de la flotte[1]. Puis il rappelle d’autres poètes qui ont parlé de l’éruption, Valerius Flaccus, Martial qui évoque l’impuissance divine, Stace, Suétone, Dion Cassius très précis, et Tertullien qui cite Pompéi parmi d’autres catastrophes. Le déroulé des événements nous est présenté, avec la rectification de la date : à savoir le 24 octobre 79 et non le 24 août d’une ancienne copie de cette lettre, en vertu de l’inscription au charbon de bois dans les nouvelles fouilles de la région V, où on lit le seizième jour avant les calendes de novembre … , soit le 14 octobre, mais sans que l’année ne soit mentionnée par le nom du consul en exercice[2].
Deuxième promenade : « Avec Edward George Bulwer-Lytton ».
Ce personnage, auteur prolifique d’une centaine d’ouvrages, visite Pompéi pendant l’hiver 1832-1833, et il écrit le fameux livre « Les derniers jours de Pompéi », l’année suivante, qui aura un succès énorme et que notre auteur détaille dans un long exposé. Il rappelle que plusieurs éruptions du Vésuve ont eu lieu, celles de 1794, de 1822 qui ravivent la curiosité et le livre renforce la mode néo-pompéienne dans toute l’Europe ; le roi Louis Ier de Bavière se fera construire une maison pompéienne à Aschaffenburg, des opéras sur les derniers jours de Pompéi sont créés, et pas moins de onze adaptations du livre au cinéma depuis 1900 sont décrites. L’A. explique, avec un malin plaisir, combien les ajouts et les retraits des personnages se font en fonction d’enjeux politiques ou religieux à mettre ou non en valeur. Il rappelle que certains lieux décrits par Bulwer-Lytton ne sont plus visibles, certains détruits, « preuve que la fiction romanesque peut devenir témoignage archéologique », (p. 60), à discuter …
Troisième promenade « Dans la cité des femmes ».
Six femmes sont présentées comme intermédiaires pour découvrir le site : deux reines, Caroline, la femme de Lord Hamilton, ambassadeur de Grande-Bretagne à Naples et collectionneur connu ; Caroline Murat, femme du roi de Naples sous le Ier empire, accélérant les fouilles de Pompéi et faisant visiter le site à de nombreux visiteurs. Puis deux pompéiennes sont nommées, Julia Felix, qui louait une partie de son bien, les praedia, et Asellina, tenancière d’un bar où des serveuses, une grecque, une juive et une orientale sont citées et dont les inscriptions électorales indiquent qu’elle incitait à faire voter. à ce propos, l’A. rappelle que sur 1500 inscriptions pour soutenir une candidature, 58 femmes se sont exprimées. Ce sont des tranches de vie qui nous sont révélées. Poppée, la deuxième femme de Néron, est évoquée, dont la famille possédait la maison des Amours dorés et celle de Ménandre, sans oublier la villa d’Oplontis, dont il nous est conseillé d’aller la visiter. Tacite a fait un portrait au vitriol de cette reine qui prenait des bains de lait d’ânesse, et qui a suscité de nombreuses fictions littéraires. Enfin, est citée Laksmi, épouse de Vishnou, déesse indienne en ivoire retrouvée à Pompéi, et Isis dont le culte existait déjà aux IIIe et IIe siècles av. J.-C. et dont le temple à Pompéi n’a pas été totalement détruit en 62 par le tremblement de terre, comme des enquêtes minutieuses l’ont prouvé[3]. Nous avons droit à un florilège de graffitis amoureux avec Vénus chantée sur tous les murs de la cité, qui était le séjour de la déesse nous rappelle Martial.
Quatrième promenade « Avec un directeur inattendu ».
Ce directeur des fouilles inattendu, c’est Alexandre Dumas, auteur d’un livre très amusant « Le corricolo », nommé pour très peu de temps, en 1860, par Garibaldi. Nous avons droit à la liste des œuvres de Dumas qui prouve son intérêt pour l’antiquité romaine, dont Catilina et Acté, où Néron est présenté de façon positive et la pièce Caligula, si mauvaise que le public dit « tu me caligules » pour « tu m’ennuies ». Notre A. ne peut s’empêcher de s’étendre sur les amours de Dumas, ses voyages et sa situation car interdit de séjour comme révolutionnaire quand il arrive à Naples en 1835, et qu’il prétend s’être caché pour dormir dans la maison du Faune à Pompéi ! Il visite la cité et est fasciné par la villa de Diomède et par l’empreinte du sein d’une femme dans la cendre qui inspirera Théophile Gautier ; il raconte dans son livre en 1843 sa visite du musée archéologique où il admire la collection Farnèse, avec l’Hercule et le Taureau, mais aussi des objets, dont les fruits retrouvés, les lampes et bien sûr les tableaux peints dont il écrit : « dans le plus médiocre, il y a quelque chose à apprendre ». La promenade se termine par une réflexion désabusée de C. Aziza : « Pompéi doit faire face à des hordes de barbares qui, en un petit siècle lui ont fait plus de mal que le Vésuve » (p. 110). C’est ce que nous avons appelé avec des collègues « l’érosion touristique ».
Cinquième promenade « Aux bras des héroïnes de papier ».
Là encore notre auteur nous présente six femmes. La première est Katherine dans le film de Rossellini « Voyage en Italie », incarnée par Ingrid Bergmann, avec G. Sanders, où ce couple, qui part à la dérive, sera ressoudé en contemplant le couple anonyme retrouvé dans les fouilles. Puis il y a Mme de Staël, dans « Corinne ou l’Italie », avec Oswald, dont le destin est brisé devant le Vésuve en feu. De même ce qu’écrit Nerval sur Octavie d’un amour inabouti. Trois autres femmes, pompéiennes, sont créées par des auteurs très différents. Il y a Nonia, dans « La danseuse de Pompéi » en 1905, écrit par une femme, Berthe Clorine Le Bariller, qui se cache sous le nom de Jean Bertheroy ; il n’y est question que de débauches festives et sexuelles, les auteurs, y compris de nos jours, voyant Pompéi comme une ville où il fait bon vivre dans une débauche perpétuelle. Puis Th. Gautier raconte l’histoire d’Arria Marcella en 1852, avec Octavien contemplant l’empreinte du sein d’Arria qui revient alors à la vie. Mais Arria est une femme-méduse, une louve, un vampire : « le temps a suspendu son vol mais où le désir en définitive ne peut s’abreuver à aucune source de vie » (p. 132). Il y a enfin la Gradiva, la nouvelle de W. Jensen en 1903, commentée par Freud passionné d’archéologie et qui fait le rapprochement entre l’analyse de l’archéologue et celui du psychanalyste. C’est l’histoire de la cure analytique de Norbert, face au bas-relief de Gradiva qui l’a troublé, et dont il revient à un amour réel, qu’il avait refoulé. La nouvelle de Jensen devient célèbre, en partie grâce à Freud. C. Aziza se pose la question de savoir si les ruines de Pompéi n’enfantent pas des chimères et si nous-mêmes ne sommes pas comme Norbert ou Octavien fascinés par ces chimères?
Sixième promenade « Naples la belle endormie ».
Il nous est tout d’abord rappelé que les ruines constituent un intérêt récent car auparavant elles servaient de carrières et l’amour de la ruine antique n’apparaît pas avant la fin du XVIIIe siècle, grâce aux artistes et, ajouterons-nous, par l’art néo-pompéien. Puis les belles peintures et les mosaïques ont été enlevées pour enrichir les collections privées des princes de Naples, par la suite conservées au musée archéologique national. Déjà Chateaubriand regrettait ce dépouillement et aurait préféré que tout reste en place. Notre auteur cite le tableau devenu célèbre de la marchande d’Amours par J.-M. Vien, décrit par Diderot au salon de 1763, qui n’est pas une copie d’une peinture d’Herculanum (p. 144), mais d’une peinture de Stabies, de la villa d’Ariane, d’où elle a été extraite de la pièce W 28 (au musée archéologique National de Naples, n° 9180)[4]. On y voit une femme qui sort d’une cage un Amour ailé qu’elle montre à une jeune femme assise, et un autre Amour est encore enfermé dans la cage ; un troisième, libre, s’appuie sur la jambe de la jeune femme. S’agit-il bien d’une marchande d’amours, ou d’une libération ? question que l’on peut se poser[5]. Puis nous entrons dans le musée, dans le cabinet secret, qui est resté longtemps inaccessible au grand public, mais où, depuis plus de vingt ans maintenant, on peut voir les scènes érotiques retirées des fouilles de Pompéi. Précisons que devant la demande du public très nombreux, dans les années 2000, il fallait s’inscrire pour la visite, menée par un guide, mais depuis quelques années, par manque de personnel, la visite se fait librement, simplement limitée à 20-25 personnes dans ce cabinet étroit, dont notre auteur nous détaille les divers baisers et postures, avec un vocabulaire latin précis, qui distingue chaque action, et cite des graffitis éloquents.
Septième promenade « Sur les pas des voyageurs du rêve ».
Déjà le XVIe siècle a vu la naissance du tourisme et Montaigne, lors de son voyage en Italie, reconnaît : « le voyage me semble un exercice profitable. L’âme y a un continuel souci à remarquer les choses inconnues et nouvelles. Et je ne connais point meilleure école que de lui proposer sans cesse la diversité de tant d’autres vies » (p. 165). À la fin du XIXe siècle, Pompéi est un but de voyage de noces ! Notre auteur cite comme voyageurs célèbres, Mozart, Hubert Robert, Fragonard. Il détaille la carrière de Vivant Denon qui assiste à l’éruption de 1779, fait une collection qu’il vendra à Louis XVI, rencontre lord Hamilton et deviendra le premier directeur du musée du Louvre. Il y a aussi Goethe, Lamartine, Stendhal qui s’est rendu onze fois à Pompéi, le peintre Karl Brioulov dont le tableau, le dernier jour de Pompéi, aura beaucoup de succès. Berlioz a été pensionnaire à la villa Médicis, Walter Scott a accompagné des touristes au Vésuve ; citons encore Victor Hugo, la reine Victoria, Charles Dickens, et même le pape Pie IX, sans oublier Flaubert, Alma-Tadema, le peintre. Quant à Taine il écrit : « toute œuvre d’art représente en abrégé les sentiments publics, les passions dominantes du temps et des pays où elle est née » (p. 183-184).
Nous pouvons ajouter les conséquences de ce succès par la mode néo-pompéienne qui déferle en Europe, avec des copies dans des résidences de prestige, dont la maison que Schliemann, le découvreur de Troie[6], a fait décorer à Athènes, où l’auteur s’est inspiré d’une voûte de la villa de Diomède. La pièce 15 de la maison de Schliemann, aux murs à fond rouge, est couverte d’une voûte à fond blanc où un médaillon au centre, orné d’un centaure, est entouré de carrés droits ou sur la pointe qui se croisent (fig. 1).
Dans la villa de Diomède, dans la pièce 54, la voûte présente le même type de composition à bandes et bordures concentriques prédominantes, mais c’est un Pégase qui est peint au centre du médaillon (fig. 2). Rappelons que la villa de Diomède est une des premières découvertes du XVIIIe siècle[7], que c’est là que fut trouvé le moulage du sein d’une jeune femme donnant naissance à la légende d’Arria Marcella dont notre auteur a rappelé l’œuvre de Théophile Gautier.
Huitième promenade « Sur les pentes du fatal volcan ».
Notre auteur ne peut pas s’empêcher de revenir sur le Vésuve, porteur d’images et d’imaginaire, objet de fantasmagories théâtrales, de films catastrophes. Il nous rappelle que Spartacus s’y était réfugié avec des esclaves, et nous cite les récits de voyageurs audacieux, le nombre des éruptions, et l’importance de saint Janvier, l’exhibition de sa statue, lors des processions, qui arrêterait le volcan et dont le sang, contenu dans une ampoule, se liquéfie. La dernière éruption, en 1944, nous est racontée comme un roman par E. Robles en 1961, mais déjà par C. Malaparte en 1949. La description de tableaux de la catastrophe, celle du plafond de la salle Charles X au Louvre, n’est pas oubliée, ni la mention des premiers photographes, ainsi que les produits dérivés comme des lampes et des dessus de cheminée à l’image du volcan.
Neuvième promenade « Entre le moi et l’émoi ».
Une question fondamentale nous est posée : que cherche-on à Pompéi ? L’auteur évoque la déception de visites, sans pouvoir prendre son temps du fait de la foule, de la manie des photos sans regarder vraiment les choses. Du fait de sa formation universitaire, C. Aziza a mené une recherche sur les Juifs de Pompéi qui sont partout, et dont les colonies juives en Campanie sont évoquées par Flavius Josèphe. Il rappelle la charte conclue par César qui leur permet de vivre selon leurs lois, avec accommodements divers.
Il rappelle qu’ils participent à des fonctions municipales, qu’il y a des artistes, comme un certain Aliturus que Poppée chérissait. Des graffitis révèlent des noms d’origine juive, comme un Ieshoua (Jésus), une Maria, une Martha, et l’inscription de Sodome et Gomorrhe sans oublier, dans les fauces d’une maison de la région I, un certain Cherem accompagné de deux étoiles de David. En revanche, c’est une erreur de croire que la croix gravée à Herculanum, dans la maison du Bicentenaire, est judéo-chrétienne (p. 220), c’est en fait l’empreinte d’une étagère, fixée au mur, et disparue (fig. 3), comme celle trouvée uniquement horizontale, mais dans l’angle d’une paroi (fig. 4) à Stabies, villa San Marco, dans la cuisine 26[8]
L’auteur se pose la question de la présence d’une caricature du jugement de Salomon sur une peinture de la maison du Mdecin, avec des Pygmées, ou encore un Pygmée englouti par un hippopotame qui serait une caricature de Jonas et la baleine. Puis notre auteur cite quatre écrivains, très différents, dont il pense que leur fiction est proche d’une expérience vécue. Enfin, il critique l’invention des moulages des morts de Pompéi, exposés dans des vitrines à la fascination morbide et à la pitié malsaine des visiteurs. Il déplore l’apparente froideur des … archéologues !
Personnellement, j’appelle ces empreintes des corps disparus « des moulages-reliquaires », pour lesquels j’ai le plus grand respect et je suis chaque fois choquée de voir, notamment des touristes japonais s’agglutiner devant ces restes humains, bien que je comprenne leur émotion au souvenir des bombes nucléaires et des séismes qui ont frappé leur pays. L’intérêt de ces moulages est de nous révéler les traits des visages, les vêtements des disparus, ce qui est unique, mais ils nous empêchent de pratiquer des analyses, notamment pour retrouver leur ADN et procéder à des identifications utiles. Nous pouvons citer la campagne d’analyses conduite sur ces moulages, et leur exposition dans une pyramide construite dans l’amphithéâtre de Pompéi en 2015 (fig. 5)[9]. Notre auteur cite Primo Levi, dans « La bambina di Pompei », qui met en parallèle trois morts tragiques, celle d’une petite fille de Pompéi dans les bras de sa mère, toutes deux mortes et moulées, celle d’une jeune hollandaise, Anne Franck, et une japonaise d’Hiroshima ; il ne s’agit pas de mannequins du musée Grévin. Pour notre auteur, les artistes ont mieux su rendre les honneurs aux Pompéiens que les archéologues et les savants. J’indiquerai, toutefois, l’étude des photographies du XIXe siècle des moulages des Pompéiens, par une collègue, qui tempère cette impression d’une moindre attention des archéologues au tragique destin des habitants[10].
Dixième promenade « La promenade du retour ».
Il s’agit du retour du lecteur après sa visite de Pompéi, et auquel l’auteur fournit la lecture des deux lettres de Pline le Jeune, puis toute une chronologie des fouilles, depuis la découverte d’Herculanum en 1738 jusqu’à la nouvelle campagne de fouille en 2018-2019 dans la région V, sans oublier le classement de plusieurs des sites au patrimoine mondial de l’UNESCO en 1997[11]. Là encore, il convient de signaler une erreur de lecture du denier d’argent au nom de Titus trouvé dans la maison du Bracelet d’Or, qui ne porte pas la quinzième acclamation qui aurait indiqué une frappe en automne 79, mais plutôt en juillet-août. Toutefois, bien d’autres éléments ont finalement amené la communauté scientifique à reconnaître que l’éruption a eu lieu le 24 octobre et non le 24 août 79, comme nous nous y étions ralliés déjà depuis plusieurs années.
Les pages qui suivent rappellent la chronologie des fouilles, puis donnent les noms des visiteurs, artistes, romanciers, cinéastes célèbres, un index des noms du cinéma, sur huit pages, soit près de cent cinq personnes avec leur C.V. et leurs œuvres citées. Une bibliographie suit qui conseille des livres à lire, pas seulement des romans et nouvelles, il y a même des livres d’archéologues, des tableaux à admirer dans des musées. On aurait pu y ajouter la liste des expositions sur Pompéi ! J’ajouterai la mention d’un article qui vient de paraître d’une collègue, Claudine Allag, sur l’évocation des peintures romaines dans la littérature romanesque des XIXe et XXe siècles, où elle insiste sur Jean Berthroy-alias Berthe Clorine Le Bariller, qui décrit les peintures de la maison des Vettii[12]. En dernier lieu nous trouvons pas moins de cinq pages des publications de C. Aziza avec multiples préfaces et commentaires d’écrivains divers. Ce livre s’inscrit bien sur les traces d’auteurs qui l’ont précédé, dont celles toutes récentes, de Maria Teresa Caracciolo, que nous avons citée, et dont le titre illustre si bien cette « seconde vie » de Pompéi.
Alix Barbet, Directrice de recherche honoraire du CNRS
Publié dans le fascicule 1 tome 123, 2021, p. 340-346
[1]. Cf. P. Pietrogrande, E. Martesi dir, Pompéi, un récit oublié, catalogue de l’exposition, musée de la Romanité à Nîmes, (6 avril-6 octobre 2019), Florence 2019.
[2]. Cf. M. Osanna, Les nouvelles heures de Pompéi, Paris 2020, p. 104-108.
[3]. H. Eristov, N. Blanc, M. Fincker « A fundamento restituit ? Réfections dans le temple d’Isis à Pompéi », Revue Archéologique 2, 2000, p. 227-309.
[4]. Cf. M. T. Caracciolo, La seconde vie de Pompéi. Renouveau de l’antique des Lumières au Romantisme 1738-1860, Montreuil 2017, compte rendu par A. Barbet, REA 119, 2017, n° 2, p. 781-788, fig. 2-3.
[5]. A. Barbet, Conte-moi Stabies au temps de Pompéi, Bordeaux 2016, question p.98-99.
[6]. U. Pappalardo, « Das “Iliou Mélathron” Henrich Schliemanns Haus in Athen », Antike Welt 1/21, p. 55-63.
[7]. Elle vient de faire l’objet d’une étude fondamentale, cf. H. Dessales éd., The villa of Diomedes. The making of a Roman villa in Pompeii, Paris 2020.
[8]. M.O. Savarit, collab. A. Barbet, dans A. Barbet, P. Miniero dir., La villa San Marco a Stabia, Naples-Pompéi-Rome 1999, p. 166, fig. 363.
[9]. Cf. M. Osanna « “Rapiti alla morte” : I primi calchi delle vittime di Pompei realizzati da Giuseppe Fiorelli » dans M. Osanna et al. éd., Pompei e l’Europa, Atti del convegno: Pompei nell’archeologia e nell’arte dal neoclassico al post-classico, Milan 2016, p. 144-161.
[10]. D. Acolat, « Mémoire de la catastrophe volcanique de Pompéi, tourisme et Vésuve dans les photographies du XIXe siècle », Norois 251, 2019, p. 81-99.
[11]. Cf. M. Osanna, Les nouvelles heures de Pompéi, Paris 2020, et compte rendu Par A. Barbet dans Actualités des études anciennes, ISSN format électronique : 2492.864X, 03/08/2020, https://reainfo.hypotheses.org/21463.
[12]. C. Allag, « L’évocation des peintures romaines dans la littérature romanesque (XIXe‑XXe siècles) » dans J. Boislève, F. Monier dir., Peintures et stucs d’époque romaine Études toichographologiques, Actes du 30e colloque de l’AFPMA, Arles, 24-25 novembre 2017, Bordeaux 2020, p. 445-449.