L’ouvrage édité par Patrik Klingborg est le résultat d’un atelier, organisé à l’Institut suédois d’Athènes en septembre 2017, autour de deux typologies spécifiques d’installations hydrauliques, les puits et les citernes, qui, selon lui, ont été trop souvent négligés par l’historiographie, contrairement aux fontaines et aux aqueducs, objets d’une littérature abondante. L’objectif est d’attirer l’attention des chercheurs sur ces aménagements, les plus communs des sanctuaires et des villes, qu’il s’agisse de l’habitat, des ateliers, ou des installations collectives. L’ouvrage alterne ainsi synthèses générales et études de cas qui dressent de nouvelles perspectives sur la fonction et l’usage de ces aménagements.
Patrik Klingborg offre d’abord une riche introduction sur l’importance des puits et citernes dans l’approvisionnement individuel de la Grèce antique, importance qui justifie à ses yeux l’organisation de l’atelier publié ici (p.9-30). Ces installations, pourtant utilisées de manière extensive, ont en effet été sous-évaluées au point de ne pas faire l’objet d’études : sans les citer tous, P. Klingborg dénombre environ 230 puits et 160 citernes à l’Agora d’Athènes et dans ses environs, 240 puits à Olympie. La première question à régler pour P. Klingborg est la terminologie. Qu’entend-on par « puits », ou « citerne » ? Les archéologues utiliseraient ces termes de manière indifférenciée alors qu’ils ont une signification bien spécifique. P. Klingborg s’appuie sur la terminologie moderne pour les définir. Il m’aurait paru plus judicieux de partir des termes grecs eux-mêmes, répertoriés dans le tome 2 de l’irremplaçable Dictionnaire méthodique de l’architecture grecque et romaine. Eléments constructifs : supports, couvertures, aménagements intérieurs dirigé par René Ginouvès[1], qui étudie toutes les dénominations d’ouvrages hydrauliques dans les langues classiques et modernes. C’est d’ailleurs ce que fera l’auteur lui-même dans sa contribution à la fin du volume. Il aurait pu également s’appuyer sur le tome 3 du Dictionnaire méthodique de l’architecture grecque et romaine. Espaces architecturaux, bâtiments et ensembles, et en particulier le chapitre sur l’architecture de l’eau[2]. Si l’orientation est donnée dès l’introduction et balise donc clairement les aménagements qui seront traités dans les contributions individuelles, il est dommage de ne pas tenir compte des grandes citernes collectives, comme celle de Délos, ni a priori celles qui ont été installées dans des sous-sols karstiques, sur des failles géologiques favorisant des remontées d’eau sans qu’il s’agisse d’une nappe phréatique : sur ce sujet, on aura tout intérêt à lire l’ouvrage de G. Polizzi[3]. Dans des cités apparemment pauvres en eau, ce jeune chercheur a mis en évidence un phénomène mal connu jusqu’à présent : les maisons individuelles y sont dotées de puits-citernes qui profitent à la fois des eaux pluviales et des remontées hydriques. P. Klingborg inventorie également les différentes formes de puits selon qu’ils plongent dans la nappe phréatique, donnent accès à un aqueduc ou sont alimentés par une ou plusieurs citernes, et souligne le flou adopté par les scientifiques lorsqu’ils mentionnent de tels aménagements. Dressant ensuite l’état de l’art en matière de puits et de citernes, il observe ce que les hydroarchéologues ont relevé par le passé[4] : à l’exception de quelques études pionnières, les archéologues ne se sont en général pas intéressés aux puits et citernes en tant que tels, mais au mobilier de remplissage qui témoignait de leurs phases d’utilisation et d’abandon. L’orientation change à partir des années 2000 où plusieurs archéologues consacrent des études de cas à ces aménagements, que l’auteur inventorie. C’est d’emblée ce qu’on pourrait regretter dans l’orientation du volume. La Grèce antique est limitée au bassin égéen et l’historiographie de langue française n’est pas prise en compte alors que l’on travaille en Occident sur ces sujets depuis de nombreuses années[5]. C’est afin d’encourager la publication de ces aménagements et d’identifier leurs différents usages et fonctions, que P. Klingborg a organisé et publié cet atelier.
Cette riche mise au point introductive est suivie d’un panorama hydro-climatique qui met en lien climat et disponibilité en eau douce (Martin Finné et Inga Labuhn, p. 31‑54). L’article est essentiel, d’abord parce qu’on ne dispose pas de véritable synthèse sur le climat antique, les paléoclimatologues travaillant généralement sur des échelles chronologiques plus larges et antérieures aux périodes dites classiques ; ensuite parce qu’il s’interroge sur l’impact de l’action humaine sur le climat et inversement, celui des changements climatiques sur l’activité humaine, prélude à une mise en perspective de la problématique dans nos sociétés contemporaines. Tout en ayant conscience des biais idéologiques et méthodologiques qui pourraient mener à une sorte de déterminisme environnemental, les auteurs présentent les sources qu’ils utilisent pour déterminer le climat antique : des caractéristiques climatiques micro-régionales de l’époque moderne aux proxys des archives naturelles (sédiments lacustres, marécageux ou marins, spéléothèmes) en passant par les carnets de bord des marins ou sources textuelles des périodes passées. La confrontation des données balkaniques et turques amène à observer que l’époque antique connaissait la même variabilité de précipitations qu’aujourd’hui, certaines régions, voire microrégions étant mieux arrosées que d’autres. À partir des données recueillies, les auteurs montrent que le climat égéen est devenu progressivement plus humide entre 700 et 350 avant notre ère. Ce climat humide a duré jusqu’au milieu du 1er siècle de notre ère. Puis une période sèche s’est progressivement installée jusque vers 450. Les auteurs restent néanmoins prudents, prenant en compte la variabilité ou la faillibilité des analyses et des résultats, et insistant sur l’impossibilité de généraliser les données d’un micro-espace à l’ensemble de la mer Egée.
Commencent ensuite les études de cas : quatre consacrées à des contextes publics ou privés, Corinthe et Sicyone (Y. Lolos, p. 55-75) ; Délos (P. Karvonis, p. 77-90), Athènes avec les citernes du Céramique (J. Stroszeck, p. 91-112) ; deux à des contextes religieux, le sanctuaire de Némée (S. Kimmey, p. 113-134) et l’Héraion de Samos (J. Fuchs, p. 135-160).
Y. Lolos fait un nouvel inventaire raisonné des structures hydrauliques de Corinthe et Sicyone en proposant une mise à jour très utile des travaux réalisés par l’American School of Classical Studies at Athens. Les deux cités ont largement exploité la nappe phréatique du substrat géologique, dont la genèse est expliquée clairement par l’auteur, et qui surgissait en de multiples sources aux limites des terrasses marines : les Corinthiens creusaient des galeries drainantes allant capter l’eau dans le substrat par un système réticulaire qu’ils faisaient jaillir dans des fontaines monumentales, dont la plus célèbre, Peirénè, ou qui reliait entre eux puits et citernes. Dans l’état actuel de la recherche corinthienne, qui n’a exploré qu’une partie du territoire de la ville antique, les quelque 500 puits et citernes antiques et médiévaux prouvent le recours massif à ce type d’installation et le savoir-faire des ingénieurs corinthiens qui ont su tirer profit de leur géologie dans un climat particulièrement aride (un peu plus de 400 mm d’eau par an en 2001). La recherche hydraulique est moins avancée à Sicyone qui semble offrir également un système réticulaire de conduites souterraines encore non étudié. Y. Lolos conclut que les deux sites gagneraient à une reprise des travaux pour répondre à un certain nombre de questions dont l’une des plus pertinentes concerne les éventuels changements entre l’époque grecque et la fondation romaine de la colonie corinthienne. Car dans l’état actuel de la recherche, les aménagements évoqués sont attribués majoritairement à l’époque pré-hellénistique.
P. Karvonis dresse une synthèse de l’approvisionnement en eau des quartiers d’habitation de Délos lors de la période hellénistique tardive. S’appuyant sur les travaux de l’École française d’Athènes, qui avait mené un programme pluridisciplinaire au début des années 2000, demeuré malheureusement inédit en dépit de quelques contributions ponctuelles, il rappelle que les ressources locales étaient limitées presque exclusivement à la nappe souterraine, dans un climat particulièrement sec. Les Déliens l’ont essentiellement exploitée par des puits et des citernes, placés généralement dans la cour centrale des maisons.
J. Stroszeck fait un bilan extrêmement précieux du programme qu’elle coordonne sur les aménagements hydrauliques du quartier du Céramique d’Athènes à partir des archives anciennes et des fouilles des années 2011-2016. Son inventaire de citernes, datées entre les époques classique et hellénistique, n’est jamais posé comme une simple liste de particularités techniques ou architecturales, mais toujours mis en relation avec leurs fonctions. Elle considère que le progrès technique représenté par l’invention des mortiers imperméabilisants dès le VIe-Ve s. av. J.-C., attestés sur la citerne de l’Acropole (510-476), a incité les Athéniens à développer ce type d’installation. Les citernes du Céramique sont essentiellement alimentées par l’eau de pluie; certaines le sont également par l’aqueduc qui va capter l’eau des sources de l’Hymette depuis le VIe s. Elles pouvaient fonctionner à plusieurs, reliées par des galeries dont certaines sont fermées par des murs à mi-hauteur, probablement destinés à préserver la qualité de l’eau. Leur forme varie selon les époques, de grossièrement trapézoïdale au Ve s. à conique à partir du IVe s., avec une embouchure circulaire plus ou moins large : cette évolution lui semble justifiée par le souci de perfectionner le dispositif de stockage (notamment pour la qualité de l’eau, le puisage ou le nettoyage). À partir de l’étude des citernes du bain du Céramique, elle propose un développement très intéressant sur les mortiers, trop rarement traités en tant que tels. Il faudrait développer ce type d’étude archéométrique qui permettrait de comprendre non seulement les processus techniques mais aussi les artisanat et commerce liés à ces installations souvent négligées par l’historiographie. On rappellera à ce sujet le premier essai de base de données collective réalisée à Aix-Marseille Université dans le cadre d’un projet financé par la Fondation A*Midex[6]. J. Stroszeck propose également une intéressante réflexion sur les dispositifs de puisage à partir des margelles et des traces (ou de l’absence de trace) visibles sur elles, et sur la postérité de ces installations. Elle redonne vie à toute une chaîne opératoire, dominée par des savoir-faire d’une grande technicité, où des équipes d’ouvriers spécialisés travaillent en symbiose et se déplacent non seulement à travers la ville mais peut-être aussi à Olynthe, Samos, Milet et Pergame. Il faut faire attention, néanmoins, à cette tendance communément répandue, qui consiste à attribuer à Athènes la primauté de toutes les innovations, qu’elle aurait diffusées en mer Égée, à l’image de la propagande athénienne de l’époque classique qui se targuait d’avoir enseigné la culture des céréales à l’oikouménè. J. Stroszeck nous donne également à voir la vie privée des Athéniens, en particulier des femmes, dont une des missions était le travail de la laine et du lin, et qu’il faut probablement lire dans la double présence des puits, pour l’eau potable, et des citernes, pour les autres activités ; ou des céramistes, et autres, boulangers et bouchers, sans oublier les officiants du petit sanctuaire de la Porte Sacrée. Elle s’interroge enfin sur l’abandon de ces citernes, dont la plupart ont été réalisées au IVe s. et qui sont oblitérées à la fin de l’époque hellénistique. Faut-il y voir des raisons climatiques (sécheresse du IVe s. qui nécessita de nouvelles installations?), comme le supposait J. Camp, stratégiques (guerres répétées ?) d’après P. Klingborg ; durabilité de l’installation qui annule le besoin d’en créer de nouvelles ? densité trop importante qui menace la stabilité du sol ? changement de pratiques culturelles ou autres ?
Parmi les installations du sanctuaire de Zeus à Némée S. Kimmey s’intéresse aux douze puits identifiés, estimant qu’ils sont les marqueurs les plus fidèles de l’activité humaine, car constituant des contextes clos, ils témoignent des rituels et festins ainsi que des nettoyages et des productions artisanales réalisées sur place, comme la métallurgie ou la céramique. Son article, centré sur la méthodologie de l’étude, interroge notamment les processus de stratification des puits dont le remplissage peut correspondre à différentes opérations, volontaires ou involontaires, et témoigner de phases d’utilisation primaire et secondaire.
J. Fuchs présente le projet de recherche consacré à Eau et culte dans l’Héraion de Samos, et mené par l’Institut allemand d’Athènes et l’Université des sciences appliquées de Lübeck : réalisation d’un système d’information géographique intégrant toutes les données obtenues par les archéologues depuis le début du XXe s., collecte d’informations environnementales destinées à restituer le milieu naturel du sanctuaire et sa disponibilité en eau (env. 100.00m3 annuels). Trois types de puits (sur 50) ont été distingués : les puits traditionnels (les plus nombreux), qui vont puiser dans la nappe phréatique profonde et peuvent être dotés d’escaliers d’accès ; les Grundwasserlaufbrunnen, ou puits d’écoulement de l’eau souterraine, une spécificité de l’Héraion de Samos, qui bénéficient à la fois d’une remontée de la nappe souterraine et des infiltrations sur les flancs du puits : l’eau est ensuite évacuée par une canalisation latérale vers les zones d’utilisation et se recharge donc sans cesse ; les rares Laufbrunnen, dont la nature n’est pas très claire et qui seraient des sortes de bassins alimentés par des tuyaux de terre cuite dont l’origine n’est pas connue en l’état du programme. On se demande évidemment s’il n’y a pas de connexion possible avec le fameux aqueduc d’Eupalinos. Comme l’évoque Hérodote dans ses Enquêtes (III.60), les Samiens ont privilégié des programmes monumentaux au VIe s. av. J.‑C. parmi lesquels figurent l’aqueduc et le temple d’Héra de ce même sanctuaire. Il ne serait pas incongru qu’ils aient mis les deux programmes en relation. En tout cas, pour en savoir davantage, il faudra attendre la suite de ce programme interdisciplinaire.
Enfin trois articles offrent un regard original par rapport à la moisson proposée jusque-là.
P. Klingborg examine les occurrences de certains termes désignant puits et citernes dans la littérature antique (φρέαρ, λάκκος, δεξαμενή, ὑποδοχή, ἀγγεῖον; p. 161-178), en écho à son introduction. Faisant observer qu’il n’existe guère d’études sur le vocabulaire des installations hydrauliques au regard des publications archéologiques, il remarque que les auteurs antiques, issus généralement de l’élite culturelle et sociale, ne s’intéressent guère à ces artefacts considérés comme triviaux et communs, utilisés essentiellement par les femmes ou par des individus de bas niveau social. Lorsqu’ils les évoquent, il s’agit généralement de puits ou de citernes exceptionnels, en usage dans des cultures non grecques ou éloignées, comme les citernes nabatéennes. Parallèlement, il met en exergue l’emploi exclusif du terme φρέαρ pour le puits, alors que les sources varient pour désigner la citerne. On pourra de nouveau regretter ici qu’il ne soit fait aucune référence aux travaux francophones, en particulier ceux de M.-Chr. Hellmann qui a beaucoup étudié ce sujet dans les inscriptions.
H. Forbes élargit la chronologie de la rencontre jusqu’aux XIXe et XXe siècles en dressant un parallèle ethnographique, centré sur le village traditionnel de Methana dans le Péloponnèse qui n’utilise que des citernes collectant les eaux de pluie depuis des générations, et des sites du Proche-Orient (p. 179-202). Le projecteur est dirigé sur les propriétés sanitaires des citernes, installation ancestrale pour cette population, et les contaminations possibles lors de la collecte des eaux, qui concentre généralement l’attention des chercheurs en hydraulique contemporaine. Cet article passionnant, qui décrit et explique des traditions anciennes, peut aider l’antiquisant à démêler certaines des énigmes de sa documentation. Ainsi H. Forbes distingue deux types d’installations, les citernes destinées à l’alimentation humaine, et les loutses, réservoirs creusés qui, contrairement aux premières, ne comportaient pas de revêtement imperméabilisé, et étaient généralement fermés par une couverture végétale : les habitants les utilisaient pour abreuver les animaux (dans la campagne) et laver les vêtements. De même, lors de pluies abondantes, ils emmenaient leurs troupeaux s’abreuver dans la montagne aux sources saisonnières pour économiser leur eau au village. Par ailleurs, la réalisation de citernes implique un investissement important en ressources financières et en compétences techniques.
L’épilogue de D. K. Rogers clôt l’ouvrage par une lecture sociologique des témoignages iconographiques et archéologiques des aménagements présentés par les contributeurs (p. 203‑221). Ces installations sont des révélateurs des modes de vie des sociétés grecques, notamment des pratiques genrées. En s’appuyant sur les témoignages traités dans le volume, l’auteur répète, ce qu’on savait déjà largement, le rôle essentiel des femmes dans les pratiques de l’eau. Les fameuses scènes des femmes à la fontaine, tant discutées, figurent d’abord, pour lui, des lieux de vie, des espaces d’interaction sociale, animés par les commérages et les bruits de puisage. Ces fontaines sont également des « stations de passage », notion développée par l’historien de l’architecture romaine, W.L. MacDonald, pour désigner des lieux de circulation où suspendre sa marche et socialiser un moment. Cette lecture remet en question la datation des fontaines attribuées aux tyrans, comme celle du sud-est de l’Agora athénienne ou celle de Théagénès à Mégare, et pourrait fournir un argument supplémentaire pour les archéologues partisans d’une datation de ces aménagements à la fin de l’époque archaïque et donc à la période post‑tyrannique : la démocratie met en place des lois et des magistratures destinées à protéger l’eau collective. Les citernes sont également mises en relation avec les maisons de prostitution, dont elles seraient une des caractéristiques. D.K. Rogers instille ainsi, à travers quelques exemples, tirés des contributions des autres participants, des suggestions qui font revivre, auprès du lecteur, Grecs d’autrefois et d’aujourd’hui.
Cet ouvrage ne se contente donc pas de recenser citernes et puits de l’Égée grecque. Si l’on néglige les quelques réserves émises au début de cette recension, il propose de véritables bilans, nécessaires du point de vue méthodologique et historique, en particulier sur les métropoles de Corinthe et d’Athènes, et des mises à jour de programmes en cours qui satisferont tout autant le public soucieux de s’instruire en antiquités environnementales que les spécialistes d’hydraulique antique. Enfin il faut saluer la libre mise en disposition de l’ensemble du volume, à quelques mois à peine de la publication papier, pratique suffisamment rare en études classiques pour qu’on la mentionne (https://ecsi.se/actaath-8-23/).
Sophie Bouffier , Maison méditerranéenne des sciences de l’homme
Publié dans le fascicule 1 tome 126, 2024, p. 325-331.
[1]. Rome 1992, p. 205-210 et en particulier p. 207-210 : citernes et puits.
[2]. Rome 1998, p. 92-110.
[3]. Solonte et l’eau. L’exploitation des ressources en eau dans la cité antique de Solonte (Italie), Palerme 2024.
[4]. S. Bouffier, « Les adductions hydrauliques des villes grecques de Sicile, des ouvrages techniques méconnus ? » dans J.-P. Brun, Ph. Jockey éds., TEXNAI. Techniques et sociétés en Méditerranée, Paris 2001, p. 513-528, en particulier p. 515.
[5]. Voir par ex. S. Bouffier, O. Belvedere, S. Vassallo, Gérer l’eau en Méditerranée au premier millénaire avant J.-C., Aix-en-Provence 2019.
[6]. https://hydromed.hypotheses.org/922#more-922