Ce volume poursuit la traduction des œuvres d’Ammonius dans le cadre du projet de traduction anglaise des Commentaria in Aristotelem Graeca, dirigé par R. Sorabji et auquel l’auteur (ci-après MC) contribue ici pour la troisième fois. Il se compose d’une introduction (p. 1-11) présentant la vie d’Ammonius et le cursus d’études qu’il faisait suivre aux étudiants [p. 1-3], l’Isagôgê de Porphyre, ses enjeux pour les néoplatoniciens et sa postérité [p. 3-5], les principales caractéristiques du commentaire traduit [p. 5-6], des réflexions sur l’authenticité de l’œuvre [p. 6-7] et des remarques sur le texte suivi [p. 7-8]. Suivent une liste de modifications par rapport à l’éd. Busse de 1891 (p. 13-4 : une cinquantaine de modifications, certaines revenant sur les choix éditoriaux parfois curieux de Busse ; d’autres reposant sur la collation par MC du Vat. gr. 207 dont les leçons vont dans le sens de l’édition princeps, voir par ex. en 25.10‑1 ; d’autres plus rares procédant ope ingenii) ; la traduction anglaise (p. 17-126) suivie de notes (p. 127-40) qui ne constituent pas un commentaire suivi mais apportent références, émendations et éclaircissements ponctuels ; une série de variantes offertes par les mss. (p. 141‑5) ; une bibliographie (p. 147-9) ; un glossaire anglais-grec (p. 151-65) ; un index grec-anglais (p. 167-91) et un index rerum et nominum (p. 193-200).
Jugé à l’aune des objectifs de la collection où il paraît, ce volume est d’excellente facture, et fournit un instrument de travail solide pour les savants s’intéressant à la tradition de l’Isagôgê, à l’école d’Alexandrie et à la littérature exégétique ancienne. Très peu, à vrai dire, est à corriger sur le fond : la présente recension se propose donc surtout d’apporter des compléments. La traduction fournie est très claire et rarement prise en défaut ; les repères fournis en introduction sont succincts mais remplissent leur office. On regrettera surtout le manque d’informations sur la littérature d’introduction à la philosophie : le lecteur francophone trouvera des éléments à ce propos dans P. Mueller-Jourdan[1].
Auteur et authenticité. Il est notable que le propos le plus contestable avancé par MC soit aussi le plus original, à savoir l’affirmation selon laquelle « il n’existe pas de raison absolument décisive de croire » qu’Ammonius ait prononcé les leçons orales constituant notre commentaire (p. 7). Il ne nous semble pas qu’il faille douter des mss. quand ils donnent l’œuvre pour un ὑπόμνημα ou des προλεγόμενα ἀπὸ φωνῆς Ἀμμωνίου, et les arguments donnés par MC n’emportent pas la décision. Que le commentaire comporte des banalités – on en trouve aussi de nombreuses dans le commentaire à la Métaphysique rédigé par Asclépius de Tralles à partir de cours d’Ammonius – s’explique tant par le recours à un « stock » d’arguments et de schèmes scolaires, que par le niveau attendu des élèves qui étaient, comme le rappelle d’ailleurs MC, au début de leur cursus ; et Damascius, appelant Ammonius « le plus grand des commentateurs ayant jamais vécu », devait penser à des travaux d’une autre envergure. On ne juge guère du talent d’un professeur à partir de ses cours d’introduction ou de méthodologie. Quant au fait que le commentaire propose régulièrement des explications alternatives, introduites par ἄλλως (MC p. 7 ; p. 131 n. 88), c’est une pratique qui se retrouve chez Asclépius (In Metaph. 78.27 ; 151.7 etc.), et on ne voit pas pourquoi elle remettrait en cause l’unicité d’Ammonius comme auteur, ou du moins comme compilateur d’opinions léguées par la tradition. En revanche, l’idée qu’Ammonius n’ait pas été le premier à se confronter à l’Isagôgê, parce qu’il discute des opinions en circulation (MC, p. 5 n. 30 ; ajouter 58.4-5 aux références données), est très vraisemblable. Ces opinions ont pu être exprimées oralement ou dans des écrits aujourd’hui perdus.
Contexte scolaire. La question de l’authenticité engage en partie la conception qu’on se fait du commentaire à l’Isagôgê : si on considère celui-ci comme un produit de la tradition scolaire, son auteur n’a que peu d’importance ; inversement, si on parvient à y identifier des intérêts et éléments originaux, alors ces éléments peuvent pointer vers un profil philosophique précis. Le contexte scolaire se manifeste dans la structure même de l’œuvre. L’introduction de l’œuvre traite de la définition (1.2-9.24) et divisibilité (9.25-16.16) de la philosophie, puis de l’Isagôgê comme œuvre (16.20-23.24), section qui fait aussi office d’introduction au vocabulaire de la logique, avant d’aborder les célèbres prolegomena de la tradition commentariste : but, utilité, authenticité, place du traité, justification du titre, division en chapitres et rattachement à une partie de la philosophie. Le gros de l’œuvre est un commentaire suivi de l’Isagôgê, procédant par brefs lemmes et où on distingue explication des buts généraux de l’Isagôgê (24.1-46.21) et « enseignement particulier » (cf. 47.6) consacré aux cinq voix, prises successivement. MC a facilité la tâche de son lecteur en développant et traduisant tous les lemmes, de façon à aboutir à une traduction complète de l’œuvre de Porphyre. (Il est dommage que la traduction ne soit pas munie de sous-titres, mais la responsabilité en incombe à la collection plutôt qu’à l’auteur).
Le Commentaire n’est pas aussi nettement structuré que dans les textes plus tardifs d’Olympiodore ou Élias, mais il est discutable d’écrire (p. 5) : « The commentary does not … exhibit the later division into lexis and theôria », même avec la nuance bienvenue « at least not in its fully explicit and systematized form ». En effet, la distinction entre explication synoptique (θεωρία) et de détail ou littérale (λέξις), qu’on trouve déjà chez Proclus, est notamment présupposée par 105.12-3 : πάντα ἤδη προκατεβαλλόμεθα· λοιπὸν σαφὴς ἡ λέξις, et Ammonius semble la mettre en pratique tacitement à plusieurs reprises, comme le note d’ailleurs MC lui-même (p. 136 n. 173 ; p. 137 n. 201). Le commentaire d’Ammonius – Asclépius à la Métaphysique comporte, quant à lui, de nombreux renvois à une θεωρία initiale (In Metaph. 81.9 ; 227.23 ; 293.14 etc.). La question mériterait un examen systématique, prenant en compte les cas où nous avons le mot sans la chose, et la chose sans le mot.
Pour autant qu’on sache (MC, p. 3), la pratique de lier exégèse de l’Isagôgê et exposé de ce qu’est la philosophie remonte à Ammonius. Dans le cursus, l’Isagôgê apparaît, après des textes comme les Vers d’Or et Isocrate (MC p. 3 : ces textes font justement une apparition dans le Commentaire, 15.17‑16.3), comme une porte d’entrée dans l’étude de la philosophie proprement dite, par la partie la plus accessible de celle-ci qu’est la logique (physique et théologie sont délibérément laissées de côté, cf. 13.8‑10). Pour autant, Ammonius laisse entendre que l’ontologie transmise dans l’Isagôgê est compatible avec un niveau de compréhension supérieur, tel que celui nécessaire pour lire Platon. Ainsi, selon Ammonius, si la célèbre doctrine des trois états de l’universel (ante rem, in re, post rem) n’est pas développée, c’est parce que Porphyre la considère inappropriée pour son présent propos (39.9-14 ; 117.1-2) : en particulier, on laisse en suspens l’existence d’universaux séparés – c’est-à-dire des Idées platoniciennes par opposition aux universaux aristotéliciens –, et de même la question de savoir s’il est possible de concilier les vues de Platon et d’Aristote (42.6-26).
Toutefois, affirmer que, dans l’Isagôgê, Porphyre laisse de côté l’incorporel (78.22-3) et qu’il se propose exclusivement de parler des universaux post rem, c’est-à-dire des concepts mentaux (69.2-4), n’est pas inconciliable avec l’adoption, ailleurs, d’une position réaliste : ainsi, selon Ammonius, les universaux ante rem considérés par le Démiurge dans la création ne sont pas simplement (ἁπλῶς) ses pensées, mais « de toute façon des essences intelligibles » (42.16-9), qui résident en lui (41.20-1 ; 42.5-6 ; 63.15). Cette phrase est compatible avec l’ontologie néoplatonicienne standard, selon laquelle le Démiurge est un intellect, contemplant des universaux séparés de la matière, corrélés à lui mais inférieurs aux toutes premières Idées : faire la lumière sur un tel sujet, dit Ammonius, implique une enquête d’ordre théologique, et c’est justement au Parménide – conçu depuis Jamblique comme une révélation graduée des ordres divins – qu’il renvoie à propos des genres et espèces tels qu’ils sont dans le Démiurge (45.10-2). Cet écart entre nécessités pédagogiques et état plus complet de la doctrine permet aussi d’expliquer qu’Ammonius – reprenant d’ailleurs Porphyre (Isag. 4.22) – puisse considérer le corps comme une espèce du genre « essence » (οὐσία), alors que, dans l’absolu, essence corporelle et incorporelle sont hétérogènes et n’ont pas de genre commun (MC, p. 134 n. 140).
Contexte doctrinal. C’est en étudiant allusions et non-dits qu’on pourrait le plus utilement compléter l’excellent travail de MC. Comme ce dernier le rappelle à la suite de P. Hadot (p. 1), Ammonius considérait Aristote comme une préparation à Platon, ce qui contredit l’hypothèse d’une distinction forte entre écoles néoplatoniciennes d’Athènes et d’Alexandrie, comme envisagé jadis par K. Praechter. On trouve dans le Commentaire plusieurs idées néoplatoniciennes typiques : la distinction entre lien physique d’animation du corps par l’âme et lien volontaire d’attachement de l’âme au corps, correspondant à deux libérations et à deux morts (MC renvoie à la Sentence 8 de Porphyre) et expliquant que des spectres puissent rôder autour des tombes (5.21-3 : cf. Phédon 81C-D ; Saloustios, Des dieux et du monde XIX, 2) ; l’animation des astres aussi bien fixes qu’errants (10.6-8) ; la conception des mathématiques comme échelle vers les idées contenues dans l’âme et dont le ressouvenir est suscité par l’expérience des particuliers (10.19-23), liée à la théorie de la réminiscence et de l’âme comme substance mathématique ; la distinction des nombres du quotidien et des nombres idéels (13.12-5) ; les philosophes matérialistes – en l’occurrence Antisthène – accusés de vivre exclusivement selon la sensation (40.9) ; la loi métaphysique, typiquement néoplatonicienne, selon laquelle l’augmentation en nombre coïncide avec une diminution de puissance (87.20-1 : cf. Proclus, Éléments de théologie, Prop. 62).
Ainsi, même si les mentions explicites de philosophes de l’époque impériale sont rares (on notera celle de Plotin en 12.26), certaines allusions replacent le Commentaire dans le cadre plus général de la synthèse néoplatonicienne. L’évocation du « Traité sur les Catégories » d’Archytas (26.16), – pseudépigraphe introduit dans l’école par Jamblique comme prétendue source du traité d’Aristote, comme le précise MC –, permet d’entrevoir qu’Ammonius ne se considère pas d’emblée étranger à la lecture idéologique des Catégories adoptée par le maître de Chalcis. Ammonius précise également que Platon parle dans le Sophiste de « genres » de l’Être, dans un sens du mot « genre » que Porphyre omet parce qu’il traite d’Aristote (52.18-21). La même doctrine des genres de l’Être paraît être à la racine de l’affirmation qu’en toutes choses, on observe essence, identité et différence (115.4-5).
Les polémiques sont elles aussi très rares dans le Commentaire, du fait de son orientation pédagogique. Mais on notera, en 103.9-104.26, la controverse à propos de « Platoniciens » selon qui le genre « animal » peut posséder les différences « rationnel » et « irrationnel » en acte (et non juste en puissance, comme dans la thèse « péripatéticienne » soutenue par Porphyre, cf. 102.3). Selon nous, ces Platoniciens désignent en réalité Jamblique, qui déclare : « Mais certains se demandent comment l’animal rationnel peut ne pas être contraire à l’animal irrationnel : quant à nous, nous dirons que c’est la différence existant à l’intérieur (d’une substance) qui est contraire à quelque différence, mais que le tout ne sera pas contraire au tout » (ἀποροῦσι δέ τινες, πῶς τὸ λογικὸν ζῷον τῷ ἀλόγῳ οὐκ ἔστιν ἐναντίον, ἡμεῖς δὲ ἐροῦμεν, ὡς μέν τινι διαφορᾷ τὴν ἐνυπάρχουσαν διαφορὰν ἐναντίον, τὸ δὲ ὅλον τῷ ὅλῳ οὐκ ἔσται ἐναντίον, Fr. 32 dans l’édition Dalsgaard Larsen, apud Simplicius, In De Caelo 169.11-3), et « Dans la substance intelligible, le mouvement et le repos, les identités et les altérités coadviennent simultanément à la substance, et là-bas la contrariété n’existe pas successivement mais simultanément » (ἐν μὲν γὰρ τῇ νοητῇ, φησίν, οὐσίᾳ κίνησις καὶ στάσις, ταὐτότητες καὶ ἑτερότητες τῇ οὐσίᾳ ἅμα συνυπάρχουσιν, καὶ ἡ ἐναντίωσις ἐνταῦθα ἐν τῇ οὐσίᾳ ὑπάρχει οὐ παρὰ μέρος ἀλλ› ἅμα, Fr. 33 Dalsgaard Larsen, apud Simplicius, In Cat. 116.26-9). Selon ces deux textes, donc, « animal » peut subsumer en lui-même « rationnel » et « irrationnel » simultanément et sans contradiction (à l’inverse de la substance sensible, qui n’expérimente les contraires que successivement). Ammonius sort du dilemme entre thèse « platonicienne » et « péripatéticienne » en disant qu’elles se vérifient respectivement des universaux ante rem et post rem : stratégie récurrente d’atténuation des différences entre autorités, comme nous l’avons vu. Ainsi, le commentaire à l’Isagôgê parvient à maintenir un remarquable équilibre entre un enseignement scolaire d’apparence neutre et centré sur l’étude de la logique aristotélicienne, et de subtiles ouvertures vers les doctrines du platonisme, plus adaptées aux étudiants avancés.
Au final donc, l’étude du Commentaire révèle un Ammonius qui ne transige pas en profondeur sur les bases du système néoplatonicien tardif. Il existe, certes, des indices de subtile christianisation : l’emploi d’« anges » plutôt que de « démons » – cf. toutefois 70.17 – comme exemple d’animal rationnel immortel, comme le relève MC (p. 2 et n. 13), peut-être pour éviter de prêter le flanc à des accusations de démonolâtrie ; la substitution d’« ange » à « dieu » dans ce même usage en 100.14 (voir n. ad loc. de MC) – mais pas en 99.13 –, contre la lettre de Porphyre (Isag. 10.13 ; 14.2) ; l’hypothèse d’un commencement du devenir (87.9, cf. n. 197 ad loc. de MC). Il semble impossible de déterminer si ces différentes marques sont dues à l’auteur du Commentaire, comme paraît le croire MC (p. 138 n. 212), ou bien à quelque réviseur.
Corrections ponctuelles. Nous terminerons cette recension par des remarques diverses. Contrairement à MC (p. 5 ; p. 139 n. 244), il ne nous semble pas qu’Ammonius présuppose quoi que ce soit chez ses auditeurs : les points allégués sont expliqués longuement. En 7.10-3, l’idée est que parfois, quand on verse de l’eau froide sur un corps froid (ἐπιχεόμενον, plutôt poured over que poured out, comme le traduit MC), on parvient à raviver (ἀνεκαλέσατο) la chaleur du corps qui déjà s’était évanouie (ἠτονηκυῖαν ἤδη) : ainsi, on verse le froid sur du froid pour obtenir du chaud, exemple de guérison « par accident », car ici c’est le même qui guérit le même, en infraction avec la règle médicale « le contraire guérit le contraire », qu’Ammonius vient d’évoquer. Si Ammonius affirme en 8.23-4 que « la musique est partie de la philosophie » (cf. n. 20 ad loc. de MC), c’est parce qu’elle relève des mathématiques (13.10-1), elles‑mêmes partie de la théorétique qui constitue, avec la pratique, la bipartition de la philosophie (11.21-3). En 22.21, pour le peu vraisemblable ἐκ τῶν εἰρημένων τῷ Πλάτωνι καὶ Ταύρῳ, « (Porphyre a tiré l’Isagôgê) des dires de Platon et de Taurus », nous proposons la correction simple τῷ Πλατωνικῷ Ταύρῳ, « du platonicien Taurus » (cf. Philopon, De aeternitate mundi 145.2). 22.22-3 ὅτι γνήσιον τοῦ παλαιοῦ τὸ βιβλίον, « that the book is authentically by the ancient one », aurait mérité une note d’explication : « le Vieux », « le Vieillard » (πρεσβύτης) ou encore « l’Ancien » (γέρων) sont autant de surnoms de Porphyre (cf. Damascius, De principiis III, 119.26 Combès – Westerink et la n. 7 ad loc. de J. Combès, qui renvoie en outre à Libanius et Socrate le Scholastique). En 49.4, il aurait valu la peine de préciser que le « chien philosophe » (κύων φιλόσοφος) est un philosophe de l’école cynique. En 103.21‑3, il faut traduire « puisqu’aussi bien les facultés irrationnelles – je veux dire la fougue, l’appétit et la sensation – que la vie rationnelle s’observent simultanément en un unique animal, l’homme » : MC semble avoir été induit en erreur par la ponctuation de Busse. En 122.7, il n’est pas nécessaire de supprimer καὶ ἵππου : le point commun entre chien, loup et cheval est la quadrupédie. En 127.8 (cf. MC n. 254), les qualificatifs « nez crochu, blancheur, noirceur » sont probablement donnés dans l’abstrait et sans lien direct avec Socrate.
Coquilles : p. 3 l. 5 : anagôseôs, lire anagnôseôs ; p. 74 l. 9 : supprimer l’apostrophe après blame us ; p. 134 n. 139 : dumanenou et dumanenon, lire dunam– deux fois ; p. 144 l. 1 : that that, lire that ; p. 176 col. 2 l. 14 : to heteromêkês, lire –mêkes ; p. 177 col. 2 l. 1, lire 20, 6.
Ces quelques remarques ne remettent pas en cause la grande qualité d’un travail qui rend envisageable la production d’une synthèse sur Ammonius, auteur trop peu travaillé. On appuie également le vœu de l’auteur (p. 8) d’une nouvelle édition du texte grec, sans pour autant se bercer d’illusions sur le caractère réaliste d’un tel projet à court terme.
Adrien Lecerf, CNRS – Centre Léon Robin (UMR 8061)
Publié dans le fascicule 2 tome 122, 2020, p. 665-669
[1]. Une initiation à la Philosophie de l’Antiquité tardive : les leçons du Pseudo-Élias, Fribourg 2007.